Le vendredi c'est permis...
C'est un graphique en "nuage de points", avec deux séries : l'une de 200 paires de valeurs pour les petits points, l'autre de 40 paires de valeurs pour les gros points. Chaque valeur est donnée par la fonction ALEA(), qui renvoie un nombre aléatoire entre 0 et 1.
À partir de là, il n'y a plus que de la cosmétique : je force les échelles de 0 à 1, je supprime les axes, je remplis l'aire de la zone de graphique en noir, je redéfinis les marques des points (tailles et couleurs).
On peut imaginer plein de variantes, en alliant à la fonction ALEA() des fonctions trigonométriques (sinus, cosinus) pour créer des courbures, des puissances pour jouer sur les concentrations, etc.
À partir de là, il n'y a plus que de la cosmétique : je force les échelles de 0 à 1, je supprime les axes, je remplis l'aire de la zone de graphique en noir, je redéfinis les marques des points (tailles et couleurs).
On peut imaginer plein de variantes, en alliant à la fonction ALEA() des fonctions trigonométriques (sinus, cosinus) pour créer des courbures, des puissances pour jouer sur les concentrations, etc.